Dimanche 3 avril 2022 Feuille d’informations et Edito
Comme pour le temps de l’avent, la liturgie nous propose deux parties dans le temps du Carême.
Comme pour le temps de l’avent, la liturgie nous propose deux parties dans le temps du Carême.
« Réjouis-toi Jérusalem ». C’est par ces mots que s’ouvre la messe de ce 4e dimanche de Carême (antienne d’ouverture), comme invitation à la joie.
C’est aujourd’hui le printemps. Cela tombe bien, la petite parabole du figuier que nous propose Jésus ce dimanche fleure bon le bourgeonnement printanier.
Nous, chrétiens, avons au moins un mantra : l’amour !
Je disais dans mon dernier édito « le retour du vert » que la période du temps ordinaire s’étend de la fin de la saison de Noël au début du Carême, et de la fin de la saison de Pâques au début de l’Avent.
Vendredi dernier, l’Église faisait mémoire de la première des apparitions de la Vierge-Marie, l’Immaculée Conception, à la petite Bernadette Soubirous, dans la grotte de Massabielle à Lourdes, en 1858.
Vendredi dernier, l’Église faisait mémoire de la première des apparitions de la Vierge-Marie, l’Immaculée Conception, à la petite Bernadette Soubirous, dans la grotte de Massabielle à Lourdes, en 1858.
Nous sommes en 1802, une jeune fille jurassienne de 16 ans se présente au noviciat des Filles de la Charité de Saint Vincent de Paul.
A l’initiative du pape Saint Jean-Paul II, chaque année, à l’occasion de la fête de la Présentation le 2 février, l’Eglise célèbre la vie consacrée.
Comme le rappelait le Père Francis Ogboo dans son édito de la semaine dernière, nous vivons le retour du temps ordinaire. Il soulignait que le terme ordinaire vient du Latin « orior » qui signifie s’élever, être remué, croitre…