Feuille d’information du 06 au 12 avril 2025
Notre union au Christ qui fait miséricorde dans le jugement ouvre en nous une nouvelle fécondité, un avenir, une espérance là où la vie semblait stérile, vaine, ou sans ambition.
Notre union au Christ qui fait miséricorde dans le jugement ouvre en nous une nouvelle fécondité, un avenir, une espérance là où la vie semblait stérile, vaine, ou sans ambition.
La miséricorde de Dieu est ici la joie de l’espérance de celui qui se reconnait pêcheur, et qui se (re)tourne vers Celui qui l’attend.
Le 3e dimanche de Carême, c’est l’évangile de la Samaritaine. Jésus vient à la rencontre de cette femme à la vie compliquée, et lui demande à boire : » donne-moi l’eau de ton puits ». il lui fait comprendre que l’eau qu’il lui demande, c’est l’eau de sa foi.
Nous le savons, pour nous chrétiens le carême ne consiste pas d’abord à respecter un certain nombre de règles, mais à nous laisser renouveler de l’intérieur pour mieux nous ajuster à la nouveauté radicale de la vie selon l’Evangile, une vie enracinée dans la foi, l’espérance et la charité.
Le carême constitue donc une période privilégiée qui nous pousse à approfondir davantage notre relation avec la Parole de Dieu.
Bref, dans un monde sans Dieu, sans espérance de salut, où l’on ne s’en remet qu’à soi-même, la comparaison et le jugement angoissants sont omniprésents.
Au quotidien, les choix que nous faisons ne paraissent pas si tranchés; mais la Parole de Dieu nous rappelle qu’au fond, ils supposent toujours un choix explicite du Bien ou sa négation.
Ce dimanche de la santé est pour nous l’occasion de rendre grâce pour tous ceux qui œuvrent auprès de nos frères et sœurs malades.
C’est pourquoi depuis le pape saint Jean-Paul II, la fête de la Présentation, le 2 février est devenue aussi la fête de la vie consacrée.
Le baptême dans le Jourdain marque la fin du temps des prophètes et le début d’une ère nouvelle.